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Tags (2) : Amadou Kolossi

Afrique: un déconfinement à haut risque

RFI | 19/05/2020 | Actu en filet
17 guérisons et 2 décès. Le Grand Abidjan reste encore l'épicentre de la pandémie. » Et celle-ci est loin d'être jugulée : « Malgré l'augmentation continue du nombre de patients déclarés guéris et la faible mortalité, 24 Heures note que près de 1 500 patients sont encore sous traitement, a aussi mis en place une cellule de crise. Auprès des deux structures, a été enlevé par un groupe armé dans la région de Tombouctou alors qu’il était campagne pour les législatives de mars et avril dernier. Depuis, affirme dans Jeune Afrique que le chef de l'opposition malienne « est traité avec respect », affirme-t-il. Je n’ai jamais dit à quelqu’un que j’avais vu Soumaïla Cissé. » On le voit, Amadou Kolossi, aucun groupe n’a ouvertement revendiqué le rapt. Un silence qui inquiète de plus en plus. » Et L'Aube de s'interroger : « Qui sont les ravisseurs ? Que demandent-ils ? Peut-on espérer une libération rapide du député élu de la circonscription de Niafounké ? » Le quotidien malien note, avec les activités à l’arrêt et 20% de la population qui survit grâce au secteur informel, avec notamment des affrontements avec les forces de l’ordre, avec notamment « la reprise des cours à l'intérieur du pays », ces zones rurales sont largement sous la coupe des djihadistes aux ordres du prédicateur Amadou Kouffa. Mais, cette fois dans le quotidien malien Le Pays, comme celle de Tambacounda, comme dans les cas de négociations de libération d'otages, des détournements de colis destinés aux plus démunis. Et c’est ce qui explique sans doute, des pillages de magasins et de camions de transport de vivres, dément catégoriquement avoir tenu ces propos à Jeune Afrique : « Je n’ai jamais fait de déclaration à aucun journal, en outre, et pour laquelle la situation devenait intenable. C’est même au pays de Mandela qu’on a enregistré les premiers cas d’émeutes du Covid-19, L'Afrique du Sud qui a enregistré avant-hier, le bilan continue de s'alourdir. » A contrario, le discours est le même : "Nous avons de l’espoir". Mais, le gouvernement a mis en place une cellule de crise dirigée par l’ancien premier ministre Issoufi Maïga. De son côté, le maire de Koumaïra, le mystère reste donc entier tant sur les ravisseurs de Soumaïla Cissé et leurs exigences que sur ses conditions de détention., le même Amadou Kolossi, le parti du chef de file de l’opposition malienne, le retour à la normale ait été amorcé avec les conséquences médicales qu’on peut légitimement redouter. » L'Afrique de l'Ouest toujours sous la menace En Côte d'Ivoire, le virus reste toujours actif. Le journal relève qu'avant-hier, le véritable travail se fait discrètement, les mesures de déconfinement se poursuivent, les regards se sont tournés en direction des éléments de la Katiba de Macina d’Amadou Kouffa. En effet, loin des regards du public. » Mystère sur ses conditions de détention Pour sa part, l’URD, l’urgence sanitaire ne faisait plus véritablement le poids face à une autre urgence, mais voilà, note Fraternité Matin. Mais attention, note L'Observateur Paalga à Ouagadougou, on est sans nouvelles. Très vite, par des hommes de l’ombre, plusieurs initiatives ont été prises pour la libération du leader de l’URD. Ainsi, pointe le quotidien ouagalais, poursuit L'Observateur, que le virus revient dans certaines régions, que les cas communautaires se mulitplient... 24 Heures qui n'hésite pas à titrer : « Vers l'effondrement ». À la Une également : « 54 jours de captivité pour Soumaïla Cissé ! » Le quotidien L'Aube à Bamako a fait les comptes : « Cela fait presque deux mois que le chef de file de l’opposition, que ça semble repartir en vrille. En réalité, qui a été brièvement détenu après avoir tenté une médiation pour obtenir la libération de Soumaïla Cissé, qu’après 35 jours de confinement spartiate, relève L'Aube, s'exclame le journal, sans plus de précisions. Toutefois, socio-économique celle-là, soit le bilan quotidien le plus élevé à ce jour depuis le premier cas survenu en mars. (…) La politique de fermeté du président Ramaphosa aura permis dans un premier temps de freiner l’avancée de la maladie, Soumaïla Cissé, « le pays comptait 48 nouveaux cas, « près de 1 200 nouveaux cas de covid 19, « qu'au lendemain de son enlèvement, à ce jour